J'ai exprimé de façon virulente sur ce réseau social mon dégout à l'égard de certaines personnes qui trainent leur seule face sur la plupart des médias ! ces gens là ayant exprimé leurs tendances pédophiles par le passé sont pour moi la lie de l'humanité ! leurs regrets actuels sont trop tardifs et ne reflètent pas ce qu'ils sont en réalité, des bourgeois pourris jusqu'à la moelle ! on ne touche pas aux enfants ! bien, que croyez vous que l'équipe dictatoriale de facebook fit ? elle me censura (interdiction de publier pendant 24h ou plus) ! mes propos ont choqué....on préfère peut être les mots débarrassés de toute aspérité, ceux qu'emploient la plupart des gens..surtout ceux qui sont censés être artistes !......pas de vagues....on ne sait jamais...ne pas choquer d'éventuels acheteurs....moi, je me fous ce que peuvent penser les gens, j'écris ce que je pense sans fard et je continuerai à le faire....je suppose que cet épisode me permettra de créer une chanson sur la censure, un nouveau thème non initialement prévu pour le prochain album ! Merci Facebook !
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- Jean-Pierre FRANCHI
- 22 déc. 2020
- 1 min de lecture
Jean Pierre Franchi/Texte/Musique/Arrangements/Vocaux/Guitares (Acoustique/Basse/Électrique)/Claviers/Programmation Batterie
Où est le Bien
Ou le Mal
L'être humain
Ou l'animal
Le pardon
Ou bien le sang
De l'amour
Ou de la haine
Et de frontières
En barrières
Murs de béton
Murs de honte
Ni d'esclaves
Et ni de maîtres
De perdants
Et ni d'élus
Oh non
Plus de religions
Oh non
Plus de différences
Oh non
Plus qu'une évidence
Une seule nation
Une seule
Une seule Terre
Moins de croyances
Plus de vie
Moins de souffrances
Plus de rêve
Plus de démons
Et plus d'anges
Sous nos pieds
Et sur nos têtes
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- Jean-Pierre FRANCHI
- 22 déc. 2020
- 1 min de lecture
Jean Pierre Franchi/Texte/Musique/Arrangements/Vocaux/
Guitares (Électrique & Basse)/Claviers/Programmation Batterie
Il a passé tout l’été
À chanter dans tous les cafés
On ne peut pas dire sur l’or l’argent il roule
Il croyait que c’était facile
Qu’il suffisait d’avoir du style
Un petit air qui tourne et reste dans l’air
La nuit à la belle étoile
Il s’endormait sans avoir froid
Sans jamais penser à ses lendemains
La nuit à la belle étoile
Il regardait passer le temps
Sans jamais penser à l’hiver prochain
Quand l’automne est arrivé
Qu’il vit les premières feuilles tomber
Il sut que l’hiver serait là très tôt
Il partit à travers villes
S’en aller retrouver l’ami
Qui lui trimait dur depuis des années
Il lui dit tu sais j’ai très froid
Pourrais-tu m’héberger un temps
Le temps d’une saison austère à peine
Il lui dit tu sais j’ai très froid
J’ai chanté durant tout l’été
Et n’ai pas récolté beaucoup de blé
Quelle ne fut pas sa surprise
Lorsqu’il entendit l’ami dire
Et bien tu n’as qu’à danser maintenant
Il comprit mais un peu tard
Que la vie sans aucun tracas
Ne pourrait durer toutes les saisons
La nuit à la belle étoile
Il s’endormait sans avoir froid
Sans jamais penser à ses lendemains
La nuit à la belle étoile
Il regardait passer le temps
Sans jamais penser à l’hiver prochain
Il a passé tout l’été
À chanter dans tous les cafés
On ne peut pas dire sur l’or l’argent il roule
Il croyait que c’était facile
Qu’il suffisait d’avoir du style
Un petit air qui tourne et reste dans l’air
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